Portraits des adhérents de Nature et Progrès
Des paysans, des artisans et des consommateurs, tous citoyens engagés pour produire et consommer autrement
Des paysans, des artisans et des consommateurs, tous citoyens engagés pour produire et consommer autrement
"L’étude, réalisée sur trois années sur la ville de Paris est alarmante. Elle rend compte de la place prépondérante qu’a prise l’abeille domestique sur la sauvage dans la biodiversité parisienne. Les abeilles domestiques consomment littéralement toutes les ressources florales disponibles, ne laissant presque rien aux abeilles sauvages. "
Sur POSITIVR de nombreux articles sur les abeilles…
"Le taux de mortalité hivernale 2017-2018 pour l’ensemble de la France métropolitaine a été estimé à 29,3 %."
En avril 2014, Greenpeace Suisse sortait un rapport accablant:
« Près de 80% des plantes à fleurs testées dans toute l’Europe sont contaminées par des pesticides toxiques pour les abeilles. En Suisse, il s’agit même de 100 % de ces plantes. Et plus de la moitié des pesticides analysés dans les échantillons suisses ne sont pas autorisés pour les plantes ornementales […] Le rapport Greenpeace « Toxic Eden » (en anglais) a analysé la teneur en pesticides de 35 sortes de plantes attirantes pour les abeilles (violettes, lavande, primevères etc.) provenant de centres horticoles, de marchés du bricolage et de supermarchés de dix pays européens. Seuls 2 échantillons sur 86 étaient exempts de produits chimiques, le reste en contenait un véritable cocktail. »
NOS FLEURS DE BALCON TUENT LES ABEILLES - En vert et contre tout
Le printemps est là, et l'envie de fleurir rebords de fenêtres, balcons et jardins se fait déjà sentir. En plus d'amener de la couleur à nos tristes façades, on œuvre pour la biodiversité en offrant du pollen aux insectes. Le geste est beau et part d'une bonne intention, mais attention aux plantes (non BIO) vendues ...
http://envertetcontretout.ch
Des comptes-rendus et articles sur les résultats d'expérimentations pour la lutte contre le varroa. Travaux réalisés en collaboration avec l'ITSAP (L’Institut technique et scientifique de l’apiculture et de la pollinisation) et les ADAs (Association de développement de l'apiculture).
«Si une source de nourriture est difficile à trouver, mais de grande qualité, alors la dépense en temps et en énergie de la communication par la danse en vaut la peine», estime M. I'Anson Price. Cette danse est apparue au cours de l'évolution à une époque où le paysage n'était pas encore imprégné par l'être humain et où ce type de sources de nourriture de haute valeur était plus fréquent.
Aujourd'hui, les abeilles ont plutôt affaire à de larges étendues présentant de nombreuses sources nutritionnelles de faible qualité. Dès lors, «nos résultats tendent à indiquer que la danse n'est plus adaptée à un environnement façonné par l'être humain», conclut le spécialiste.